Nos plus jeunes franchisés reviennent sur leur souhait d'entreprendre et nous livrent pourquoi ils l'ont fait parce qu'ils étaient jeunes !

Nos plus jeunes franchisés reviennent sur leur souhait d'entreprendre et nous livrent pourquoi ils l'ont fait parce qu'ils étaient jeunes !

Publié le dans Actualité

Lukaz et Éléonore sont franchisés Crédit Conseil de France à Brest depuis plusieurs mois. Dans le cadre de la journée internationale de la jeunesse, la rédaction Crédit Conseil de France s'est tournée vers eux afin de revenir sur leurs motivations et leur souhait d'entreprendre en étant jeune.

 

Pouvez-vous vous présenter ?

Éléonore : Bonjour, nous sommes Lukaz et Éléonore, franchisés Crédit Conseil de France à Brest depuis quelques mois. Au-delà d'être associés dans ce projet entrepreneurial, nous sommes en couple et nous avons l'ambition de satisfaire tous nos clients !

 

En tant que jeunes entrepreneurs et plus jeunes franchisés Crédit Conseil de France, qu'est ce qui vous a motivé à vous lancer dans cette aventure professionnelle ?

Lukaz : Nous sommes devenus parents il n'y a pas longtemps et avant même la naissance de notre enfant nous avions le souhait de trouver un équilibre familial et professionnel. On s'est alors demandé ce qu'on pouvait faire pour ne plus avoir les contraintes de salariés et ne pas avoir de regrets dans notre vie. On entend souvent "Je voulais me lancer mais je ne l'ai pas fait.". On a donc pris les devants et on s'est dit autant le faire quand on est jeune comme ça si on se loupe, on peut rebondir et retrouver un emploi en tant que salarié.

 

Éléonore : Le point le plus important était la flexibilité par rapport à notre souhait de fonder notre famille et ainsi pouvoir tout équilibrer, que ce ne soit pas toujours le même qui doive tout gérer et que l’autre soit bloqué par son travail. Pour nous être salarié était devenu une contrainte. En effet, nous étions dépendants d’un agenda et d’horaires fixes, par exemple pour s’absenter il faut demander un congé, ce qui est normal mais pas très flexible.

Nous avions la volonté de gérer notre propre agenda, de pouvoir travailler le midi au bureau et partir à 14h pour un rendez-vous médical, aller chercher notre enfant, profiter de ses moments précieux et reprendre le travail après à la maison. Le fait de pouvoir équilibrer ses journées comme cela nous arrange est un luxe que l’entrepreneuriat pouvait nous offrir, contrairement à nos anciens postes de salariés.

 

Lukaz : Notre volonté d’entreprendre était motivée par la flexibilité que le projet nous apporte, par le fait d’avoir la liberté de l’agenda, de prendre le temps nécessaire pour échanger avec un prescripteur ou nos clients et d’allier notre vie professionnelle et personnelle sans frustration. Et c'est pour ça aussi qu'on a décidé de le faire ensemble.

 

Le fait de vous êtes lancé à deux rejoint cet objectif de vie : atteindre la flexibilité et la liberté de gérer votre temps ?

Éléonore : Exactement. Pendant notre temps de réflexion au projet, on s'est demandé si un de nous deux devait rester salarié pour avoir une sécurité financière, la mutuelle et tous les avantages du statut. Mais cela ne correspondait pas à notre vision de la vie et on ne voulait pas que l'un de nous ressente de la frustration. Malgré le risque que cela implique, nous voulions nous lancer tous les deux et trouver cet équilibre à deux. 

Notre motivation d'entreprendre vient également de la volonté de travailler pour soi. En effet, dans nos anciens métiers nous répondions aux objectifs de nos patrons. Maintenant, ce qui nous plaît dans le fait d'être entrepreneurs, c'est de travailler selon nos objectifs, nos moyens et pour nous. Le stress est toujours présent parce qu'on veut atteindre nos objectifs mais il est tellement différent et apporte la motivation au quotidien pour aller conclure les dossiers de nos clients.

 

Lukaz : Être entrepreneurs aujourd'hui nous apporte une autonomie sur la gestion de notre vie personnelle mais également sur la gestion de notre société, on décide des objectifs, des moyens que l'on veut mettre en place, la motivation est alors multipliée ! 

On n'est plus frustrés quand on valide un dossier parce qu'en retour on voit les résultats et on a la reconnaissance du client en direct.

Le dernier point qui nous a permis de nous lancer, c'est l'aide de Pôle Emploi. On a fait valoir nos droits afin de s'assurer une sécurité financière pendant les premiers mois.

 

Pourquoi avoir choisi le modèle de la franchise pour vous lancer ?

Lukaz : Je connaissais déjà la franchise Crédit Conseil de France et les équipes. On a beaucoup discuté avant de prendre notre décision. Ce qui nous a convaincus c'est le fait d'avoir un soutien permanent tant au niveau de la technique qu'au niveau humain. Choisir la franchise c'est faire appel à des experts en informatique, juridique, marketing, communication ou encore commercial. Quand on se lance on n'a pas toutes les compétences et on n'a pas le temps de tout gérer. Personnellement, je suis très à l'aise avec l'aspect commercial et Éléonore a les compétences nécessaires pour bien mener la gestion de l'entreprise.

Aujourd'hui on bénéficie de la visibilité de la franchise et les accords bancaires historiques du réseau. Tous seuls, nous n'aurions jamais eu la capacité d'avoir tous les accords que nous propose la franchise. 

 

Éléonore : On profite de la notoriété de l'enseigne sur les réseaux sociaux et dans les réseaux professionnels. Le fait de se lancer sans franchise aurait été compliqué pour nous, je ne pense pas qu'on se serait lancé. 

Par exemple, malgré le fait que l'on soit jeune, nous ne sommes pas forcément présents sur les réseaux sociaux. C'est un aspect de l'entreprise qui prend énormément de temps. Et l'avantage de la franchise ce sont les nombreux outils à notre disposition : un CRM (WINEO), une aide à la décision (ADELINE), des outils de communication, des experts en solutions de financement, un soutien juridique ou encore Fabien PDG et expert sur le marché du crédit. 

Les équipes qui se trouvent derrière l'enseigne nous permettent d'atteindre nos objectifs et nous soutiennent au quotidien, tant moralement que techniquement.

 

Est-ce que votre âge vous a freiné dans l'aboutissement de votre projet professionnel ? 

Lukaz : Personnellement nous n'avons pas rencontré de freins à proprement parlé, mais le financement a été compliqué à obtenir. En effet, aujourd'hui c'est compliqué pour tout le monde de décrocher un financement professionnel et on ressentait bien que les établissements étaient plutôt frileux. La notoriété de la franchise nous a aidé à débloquer ce financement et nous étions prêts à nous lancer. En effet, la franchise demande un investissement, qui reste réaliste, mais ce modèle rassure également tous les interlocuteurs et les parties prenantes du projet.

 

Éléonore : Au-delà de l'aspect financier, entreprendre contient des risques. Effectivement, si l'activité n'est pas au rendez-vous et que nous sommes obligés d'arrêter ou tout simplement, si entreprendre ne nous plaisait finalement pas. Notre âge est alors un atout considérable. Il nous permet de retrouver un travail et c'est ce qui nous plaît dans le fait d'avoir entrepris jeunes.

Notre âge n'a aucun impact dans nos relations avec les prescripteurs ou nos clients parce que notre expertise est au rendez-vous. Nous sommes passionnés par ce que nous faisons et notre réseau le ressent. On a d'excellents retours sur notre page Google Business Profil par exemple. 

 

Lukaz : On a beau être jeune, nos partenaires et nos clients voient bien qu'on est avant tout experts et qu'on a une approche très humaine. On est là pour les aider à concrétiser leurs projets et on ne laisse pas tomber au premier refus. Notre jeune âge nous apporte une force et une motivation différente. On a envie de se dépasser davantage. 

 

Qu'est ce qui vous plaît dans le système de la franchise au-delà du soutien quotidien évoqué précédemment ? 

Éléonore : Le réseau sans hésitation ! 

Au-delà des équipes du siège, il y a les autres franchisés. Pendant nos trois semaines de formation, les réunions régionales, nationales et les autres événements internes, nous avons rencontrés les franchisés 2CF et on a pu lier des relations professionnelles avec des personnes passionnées, dans la même situation que nous, avec les mêmes problématiques. 

Le réseau est très enrichissant et nous a permis de rencontrer des personnes que l'on n'aurait pas pu connaître au vu de notre différence d'âge et de la situation géographique. 

 

Êtes-vous satisfait de votre choix aujourd'hui ? 

Lukaz : On n'a aucun regret ! 

La période est compliquée, on le savait et on estime que l'on a quand même eu raison de se lancer. On se donne encore plus les moyens de réussir et d'accompagner nos clients dans la validation de leur dossier. C'est une période très challengeante, qui nous permet de nous dépasser ! On reste positif et on s'accroche pour développer notre activité. Le marché montre des signes de détente et de reprise. On y croit, l'activité va reprendre et nos clients vont avoir besoin de nous dans les mois à venir. On sea là. 

 

Éléonore : Autre avantage, c'est qu'on peut travailler d'où l'on veut. Par exemple, cet été on part une semaine en Corses, on prend nos maillots de bain, nos tongs, notre téléphone et ordinateur pour continuer de développer notre activité et d'accompagner nos clients. C'est aussi ce qui nous plaît, la liberté ! 

 

Avez-vous un dernier mot pour les futurs jeunes entrepreneurs ? 

Éléonore et Lukaz : Lancez-vous ! C'est quand on est jeune qu'on prend le moins de risque. Le temps est devant nous, l'énergie et la motivation sont à leur maximum. Croire en son projet, c'est le plus important !

 

 

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